Spartounet, le cartographe pas silencieux

Bonjour chers lecteurs et bienvenue dans cette nouvelle chronique dans laquelle je vous ferai part des mes coups de coeur et coups de gueules concernant les maps multijoueurs de la saga Halo. Bien entendu, cet article ne reflète que mon avis et non celui de la rédaction ou même de la communauté en général, même s’il sera sans doute très proche. C’est tout simplement un petit texte sur mes cartes préférées et détestées et à la suite duquel vous pouvez réagir (en restant calmes à chaque fois évidemment). Je tiens à dire aussi que je ne suis pas un spécialiste pur et dur et n’ait aucune prétention en ce qui concerne l’esport, mais je suis simplement un passionné.

Je ne commencerai pas en étant méchant parce que j’aimerais bien que vous reveniez la semaine prochaine tout de même, alors cette semaine sera un coup de coeur. Je vais en effet parler de Battle Canyon, le remake de Beaver Creek (qui sera du coup aussi abordée ici). C’est tout simplement la carte que je préfère, tous les Halo compris. Simple et efficace, elle permet des combats très dynamiques dans un petit canyon situé sur Halo, on ne sait où précisément. Pour bien la visualiser, voici une petite vue aérienne de Beaver Canyon.

Comme on peut le voir, de chaque côté de la map se trouvent des bâtiments, points de départ des joueurs en début de partie. En plus de proposer des ravitaillements en grenades, des shotguns sont disposés au sous-sol pour nettoyer un peu les vagues d’assaillants un peu trop entreprenants. Mais je dois avouer que je les prends bien peu souvent. Je préfère foncer directement dehors, afin de mitrailler les ennemis qui débarquent de leur propre base. Il faut dire que la taille assez restreinte de la map fait qu’on est tout le temps plongés dans l’action. L’arche rocheuse au milieu ne laisse pas un champs de vision totalement ouvert, ce qui pousse à foncer sans trop craindre de se prendre des tirs de longue portée.

Il est néanmoins possible d’exploser la face de ses ennemis, une fois le sniper ramassé en haut d’une des rampes qui surplombe les côtés de la carte, en restant sur le côté de sa base et en visant le côté opposé de la map. Mais les tentatives de camping seront très souvent infructueuses, les téléporteurs derrière chaque bâtiment aidant souvent à surprendre les ennemis dans le dos. Rien de tel qu’un duo d’assassinats sur deux joueurs négligents pour se mettre de bonne humeur.

La petite rivière au milieu qui sépare le terrain en deux mène quant à elle à un power-up d’armure ou à un module d’invisibilité, dévastateur s’il est combiné avec un fusil à pompe. N’oublions pas qu’il est aussi possible de monter sur les bâtiments afin de canarder les ennemis en contre-bas, mais il faut toutefois rester vigilant. Si un adversaire parvient à grimper l’arche rocheuse ou à y sauter depuis un surplomb rocheux pour ramasser un lance-roquettes, on devient alors une cible de choix. Même un spartan ne peut courir assez vite pour traverser la vitre sur le toit de la base quand il a un missile aux trousses…

Beaver Canyon/Creek s’avère ainsi la map idéale pour des petites parties dynamiques, entre amis ou même en ligne contre des inconnus. Le rythme des parties sur cette carte ne permet pas de souffler une seule seconde et les scores seront souvent serrés avec l’équipe adverse à la fin du match. Qui aurait pu croire que cet endroit paisible, traversé par un calme petit cours d’eau serait un jour l’arène de combats de spartans déchainés…

J’espère que cette chronique ravive en vous quelques souvenirs. N’hésitez pas à partager vos expériences sur Beaver Canyon/Creek en commentaires et si vous n’aimez pas cette jolie carte, faites-le savoir, ça m’intéresse drôlement ! La semaine prochaine, j’essayerai de ne pas être trop virulent concernant High Noon, remake de la tristement célèbre carte Hang’Em High !